Et voilà que ton corps devint lumière
Et voilà que mes caresses devinrent scintillantes
Et les étincelles de joie, de plaisir et de liberté
Nous touchèrent et nous élevèrent vers le domaine étrange
Et chacune de tes courbes habitées par cette force
Fut une marche vers la liberté
Et soudain tout changea
Se révéla, en ma poitrine, un espace immense
Si immense que des mondes l’habitent.
Et ces mondes sont des gens,
Et ces gens se meuvent suivant leurs relations.
Et tout cela est un chemin de force
Et sur ce chemin est une ouverture
Et dans cette ouverture une lumière.
Mais mes relations avec les mondes n’étaient pas assez justes
Et alors le chemin n’était pas assez solide
Et la lumière de l’ouverture aurait brûlé l’ensemble
Mieux valait, je crois, revenir plus tard
Après ajustement !