Avec toi, enfin je vis, pour la première fois,
Le désir d’une femme si grand que je suis débordé et troublé,
Tes caresses qui traversent mon corps plus profondément que jamais,
Tes positions et tes mouvements si crus et si forts
Mais si simples qu’ils ne sont pas vulgaires,
De tes lèvres et ta langue, ce goût dont j’ai besoin.
Ce juste mélange d’humain et de divin, de vital et de choisi.
Cet infini pouvoir de guérison des chagrins que j’ignorais.
Cette dimension si vaste que tout devient petit.
Ce saut dans l’inconnu cherché depuis toujours.
Cette lumière qui nous lave en nous faisant pleurer.