Le guerrier accompli ne brandit plus
son arme, qui reste désormais au râtelier.
Quand il entre sur le lieu du conflit,
il entre en paix, avec beaucoup de force.
Qu'il inspire respect ou crainte
dépends de l'état d'esprit de celui qui l'observe.
Mais en sa présence chacun sent que la
violence est une erreur,
qu'elle vient de l’intérieur de soi,
et qu'elle peut être maîtrisée.